Matadi, 28 septembre 2016 (ACP).- Dr Ruth Yala, conseillère  technique au ministère provincial de la Santé du Kongo Central, a ouvert, mardi en la salle des réunions de l’Eglise du Christ au Congo (ECC) à Matadi, les travaux de l’atelier de formation des formateurs des relais communautaires des entités de la province sur la lutte contre le paludisme.

Cette formation de trois jours, assurée par des experts choisis selon leurs compétences scientifiques parmi les membres de la coordination nationale de renforcement  du système des relais communautaires, permettra aux participants de parfaire leurs connaissances sur les stratégies à mettre en pratique sur terrain, pendant les campagnes de sensibilisation  de la population sur la gravité  du paludisme, une maladie très meurtrière.

L’objectif visé par cet atelier est celui de responsabiliser la communauté  au changement de mentalité et à la prise en charge  des actions d’assainissement environnemental,  pour atteindre l’objectif de zéro paludisme au Kongo Central d’ici à l’horizon 2030, conformément au souhait de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). ACP/FNG/ZNG/Wet

Kinshasa, 28 septembre 2016 (ACP).- La JS Kinshasa, chez les messieurs, et Héritage, chez les dames, tous les deux de la RD Congo, sont logés respectivement dans les groupes B et C du tour final de la 38^ème Coupe d’Afrique des clubs champions de handball, prévu du 21 au 30 octobre 2016 à Ouagadougou, au Burkina Faso.

A l’issue du tirage au sort effectué mercredi au siège de la Confédération africaine de handball (CAHB), à Abidjan, en Côte d’Ivoire, la JS Kinshasa partage son groupe avec Zamalek (Egypte), Widad Smara (Maroc), FAP (Cameroun) et Douane (Burundi). De son côté, Héritage se retrouve avec FAP (Cameroun), ASPAC (Bénin) et AS ONEA (Burundi).

 Les équipes inscrites à ce tournoi sont reparties de la manière suivante : Hommes – groupe A : 1. Espérance Sportive de Tunis (Tunisie), 2. Al Ahly (Egypte), 3. MINUH (Cameroun), 4. Caïman (Congo), 5. Police HBC (Rwanda) ;groupe B : 1. Zamalek (Egypte),  2. Widad Smara (Maroc), 3. FAP (Cameroun), 4. JS Kinshasa (RDC), 5. AS Douane (Burundi). Dames – groupe C: 1. FAP (Cameroun), 2. Héritage (RDC), 3. ASPAC (Bénin), 4. AS ONEA (Burundi) ; groupe D : 1. Primeiro de Agosto  (Angola), 2.Tonnerre KC (Cameroun), 3. Bandama (Côte d’Ivoire), 4. Nairobi Water (Kenya). ACP/FNG/ZNG/Wet

Kinshasa, 28 septembre 2016 (ACP).- Le FC Renaissance du Congo se frotte au SC Rojolu, en derby kinois, jeudi au stade des Martyrs, en match de la 1^ère journée du 22^ème championnat de la Ligue nationale de football (LINAFOOT), zone Ouest.

Pour leur première participation au championnat national, les « Orange » devront penser au soutien massif de leur public dans la mesure où leurs adversaires sont des habitués de ce genre des rendez-vous bien que manquant toujours d’envergure.

Vendredi, en clôture de la 1^ère journée, au stade des Martyrs, à Kinshasa, le DC Motema Pembe se mesurera au RC Kinshasa, tandis qu’au stade du 6 Juin, à Kikwit, l’AS Ndombe de la localité accordera son hospitalité à l’équipe kinoise de Shark XI FC. ACP/FNG/ZNG/Wet

Kinshasa, 28 septembre 2016 (ACP).- L’AS V.Club a fait preuve de maîtrise en monopolisant le jeu devant un MK combatif, soumis sur la marque de 3-0, mercredi au stade des Martyrs, en match inaugural de la zone Ouest du 22^ème championnat de la Ligue nationale de football (LINAFOOT).

La réplique des « Bana Lemba », conduits par le capitaine Mfuki Kilala soutenu par les expérimentés Lema Sukama, Likango Mbala et Mombo Lusala, a été d’un niveau remarquable. Mais, en face, avec un entrejeu animé par Yannick Bangala ayant autour de lui le capitaine Padou Bompunga dans l’axe, Idrissa Traoré, Omar Sidibé, Atouba Emane et en pointe le revenant Etekiama Tady Agiti, de retour à la compétition après deux ans de suspension, les vagues offensives ont déferlé devant les buts gardés par Ahendeke Vervé.

Celui-ci a fini par céder sur un centre au cordeau de Junior Baumeto, repris de près par Omar Sidibé (26^ème) : 1-0. A peine entré en remplacement d’Etekiama, Ernest Sugira (76^ème) s’est signalé immédiatement au tableau d’affichage en exploitant une ouverture de Mthunzi Shikisha pour tromper avec sang-froid le portier du FC MK : 2-0. Il a fallu d’une bourde d’Ahendeke Hervé ayant capté de ses mains le ballon en dehors du rectangle pour que sur le coup qui s’est ensuivi Ikanga Mayimona (3-0) ne transperçât le mur pour le 3-0.

Pour le compte également de la 1^ère journée, au stade Damar, à Matadi, l’AS Veti Club de la ville portuaire a eu maille à partir avec l’AS Dragons Bilima de Kinshasa avec laquelle elle s’est séparée dos à dos 0-0. ACP/FNG/ZNG/Wet

Kinshasa, 28 septembre 2016 (ACP).- Environ dix mille cinq cent quarante tonnes de déchets issus de la dernière campagne de vaccination préventive contre la fièvre jaune (17-27 août 2016) ayant couvert 32 zones de santé de la ville-province de Kinshasa– particulièrement les seringues et aiguilles usées ainsi que les flacons vides ont été détruits dans le four rotatif de la Cimenterie de Lukala (CILU), à plus de 200 km au Sud-ouest de Kinshasa dans la province du Kongo Central.

Selon un procès-verbal signé par les trois parties-prenantes (CILU-Ministère de la Santé Publique-OMS), ‘‘les déchets correspondant à 13.532 boîtes de sécurité ont été introduits dans la partie basse de la tour d’échange thermique dont les températures avoisinent 800°C, puis calcinés dans le tronçon rotatif du four dont la moyenne de températures atteintes est d’environ 1.450°C.’’

‘‘Il était crucial pour l’OMS d’appuyer les autorités nationales de la RDC dans le sens de réunir toutes les conditions de sécurité nécessaires afin que ces déchets piquants – qui peuvent être contaminés – soient éliminés totalement dans une infrastructure de traitement adéquat comme celle de la Cimenterie de Lukala pour préserver la santé de la population,’’ a indiqué le Dr Allarangar Yokouidé, Représentant de l’OMS en République Démocratique du Congo.

Deux logisticiens de l’OMS et deux autres du Programme Elargi de Vaccination (PEV) de la RDC ont supervisé le processus de la destruction des déchets acheminés sur le site  à bord de deux véhicules avec l’appui logistique du Programme Alimentaire Mondial (PAM) en présence du Responsable Cuisson du site et d’une dizaine de manutentionnaires.

‘‘Nous apportons pour notre part l’outil industriel, c’est-à-dire un four de cimenterie qui tourne 24/24, avec une capacité de monter à un très haut niveau de températures pour une élimination sans faille de ces déchets dangereux’’, a expliqué M. Philippe Espinasse, Gestionnaire du Projet à la CILU.

En outre, la Cimenterie de Lukala qui a offert ses services entend répondre ‘‘aux exigences des normes internationales en matière de sécurité et de santé, en prenant en compte les aspects environnementaux, et en intégrant également l’identification et la gestion des risques dans cette opération, de manière à ce que ce processus n’entraîne pas des dégâts sur la santé des personnes,’’ a insisté pour sa part le chargé de l’hygiène et de la sécurité au Projet, M. Jean-Pierre Kimpindi.

Un total de plus de 20.232 boîtes de sécurité, dont 13.532 ont été collectées par les zones de santé de Kinshasa avec l’appui technique et financier de l’OMS, au cours de la campagne de vaccination préventive contre la fièvre jaune. Les autres partenaires tels que Médecins Sans Frontières (MSF)  et Save the Children ont détruit respectivement 4.677 boîtes de sécurité et 2.022 boîtes sur place dans la ville-province de Kinshasa. Quant aux déchets collectés dans les 15 autres zones de santé de la RDC frontalières avec l’Angola,  ils ont été brûlés de manière sécurisée puis enfouis sous terre à plus d’un mètre par les zones de santé concernées.

Environ 10.798.406 de personnes de 9 mois et plus avaient été vaccinées gratuitement pendant 10 jours dans 47 zones de santé des cinq provinces suivantes : Kinshasa (avec une large cible de 7.898.365), Lualaba, Kasaï, Kasaï Central, Kongo Central et Kwango avec l’appui de l’OMS, Gavi, MSF, Save the Children, UNICEF, Banque mondiale, Gouvernement du Japon, Gouvernement de la Chine et autres. ACP/FNG/ZNG/Wet

Kinshasa, 28 septembre 2016 (ACP).- La campagne du programme national multisectoriel de lutte contre le VIH/Sida(PNMLS) dénommée « Connais tes droits », lancée depuis le 23 septembre dernier dans la ville de Bunia en Ituri, se poursuit normalement, indique un document de cette structure parvenu mercredi à l’ACP.

Selon la source, cette campagne  de 3 semaines permet à la population  de Bunia d’avoir accès  au dépistage volontaire  et gratuit  du VIH/SIDA. Menée sous la coordination du Ministère de la Justice-Garde des sceaux et droits humains, la campagne a été  mise en œuvre  par la plateforme UCOP avec l’appui du PNUD, de l’ONUSIDA et de la section  VIH/SIDA de la MONUSCO.

Le PNMLS estime qu’environ 13% de la population de l’Ituri connait son statut sérologique depuis juin 2016. Parmi la population ciblée figurent entre autres les détenus de la prison centrale de Bunia où la campagne de dépistage volontaire est en cours. ACP/FNG/ZNG/Wet

Kinshasa, 28 septembre 2016 (ACP).- La maternité du Centre de santé de référence de Mavivi, localité située à 2 kilomètres de Beni au Nord-Kivu, dispose désormais d’un bloc opératoire, dans le cadre du Projet à Impact Rapide de la Monusco.

Un communiqué de la MONUSCO remis mercredi à l’ACP indique que ce projet a permis d’achever les travaux de cette maternité et à réaliser l’équipement nécessaire  pour un coût  d’environ  56 000 dollars  américains. Il s’agit  du crépissage des murs, de la pose portes et des fenêtres, de la peinture,  du plafond ainsi que de la table opératoire, de la lampe scialytique l’échographie, des 44 lits métalliques et 44 matelas,  précise la source.

L’administrateur du territoire, le médecin  chef de zone  ainsi que les responsables du Centre  de santé, le chef  de localité, tous présents à la cérémonie de remise du matériel, ont remercié la MONUSCO  pour ce geste de générosité qui va renforcer la capacité d’accueil de l’établissement et améliorer les conditions d’accouchement des femmes, a  conclu la source. ACP/FNG/ZNG/Wet

Kinshasa, 28 septembre 2016 (ACP).- La bonne gestion des déchets permet d’assainir l’environnement et de lutter contre la pollution de l’air, a préconisé, mercredi, la présidente de l’ONG de défense de l’environnement « Logos Premier », Jeannette Bosingizi.

Selon elle, les déchets collectés doivent être recyclés en fonctions de leur nature pour éviter de polluer la nature. Si la transformation se fait de façon industrielle, cela permettra aussi de commercialiser les dérivés. «Notre pays produit des milliers des déchets par jour. Ils proviennent des ménages, des marchés, des places publiques et mêmes des entreprises. Il s’agit de la mitraille, des produits et sachets en plastiques et des immondices», a poursuivi Jeannette Bosingizi.

Sur 7000 tonnes de déchets produits chaque jour à Kinshasa, moins de 10% seulement sont gérés jusqu’au centre d’enfouissement de Kinkole, selon la Régie d’assainissement et travaux publics de Kinshasa (RATPK), a-t-elle déploré, avant d’indiquer qu’à Kinshasa, des milliers de familles vivent du commerce des déchets biodégradables et solides. ACP/FNG/ZNG/Wet

Kinshasa, 28 septembre 2016 (ACP).- Le Corps national  des professionnels en santé communautaire (CNPSC) a lancé, mercredi, «  le projet pilote de renforcement des capacités des professionnels de santé sur les logiciels d’analyses statistiques des données sanitaires », au cours d’une réunion de prise  de contact au Centre Mère et enfants situé dans la commune de Barumbu.

Selon le président de cette ASBL, Godefroid Shombo, la RDC a adopté la stratégie des soins de santé primaires (SSP) pour assurer une meilleure santé à la population, indiquant que « la réussite de cette politique dépend de la capacités des agents et cadres des niveaux central, intermédiaire et opérationnel de système de santé de créer et de gérer un cadre organisationnel qui permette une meilleure mobilisation et utilisation de divers ressources en vue d’atteindre des objectifs des SSP ».

Ce projet va répondre à certains besoins technologiques liés à l’informatique appliquée en santé, en renforçant les capacités des agents et cadres de structure sanitaire de la ville de Kinshasa en général, et ceux du Centre Mère et enfant CME/Barumbu en particulier, a-t-il précisé.

M. Shombo a émis le vœu de faire du CME/Barumbu un centre pilote en matière de la maitrise des données informatiques sanitaires et a sollicité l’accompagnement des autorités du centre pour une meilleure formation d’actualité informatique.

Mme Gabrielle Mpokfuri a salué l’initiative de CNPSC qui vise à rendre performants les personnels de son institution dans l’usage correcte des logiciels de base dont (Word, Excel, Power Point) et les logiciels d’analyse des données statistiques (Epi Info 3 .5.3  et  Epi 7, Cspro, Statistix et Spss) ainsi qu’un logiciel d’enquêtes assistées (Gps Android).

Ce projet de formation de trois mois vise aussi à contribuer au renforcement des capacités des professionnels de santé sur les notions informatiques appliquées en santé, en vue de rendre les services de santé  adapté et performant.

Le personnel du Centre Mère et Enfant invité à bien interpréter les données sanitaires à Kinshasa

 Les membres du personnel du Centre Mère et enfant (CME/Barumbu ) sont invités, après la formation, d’être capables de faire la collecte, l’analyse, le traitement et l’interprétation des données sanitaires, indique l’un des objectifs opérationnels d’un « projet pilote de renforcement des capacités des professionnels de santé sur le logiciels d’analyses statistiques des données sanitaires », lancé mercredi à Kinshasa.

Selon Godefroid Shombo, président du Corps national des professionnels en santé communautaire (CNPSC), ils doivent déterminer les logiciels de base ou d’analyse statistiques des données sanitaires mieux adaptés et appropriés selon le besoin dans leur service de santé, et d’établir les relations d’utilisation de ces logiciels dans les activités de gestion de base des données sanitaires de leur service.

Ils sont invités à intervenir également comme « DATA MANAGER » dans des projets de santé et de développement aux organisations gouvernementales et agences des nations unies, a-t-il dit.

M. Shombo les a conseillés qu’après la formation, par rapport aux objectifs d’apprentissage, ils expliquent didactiquement les logiciels d’informatique de base (Word, Excel, Power Point et internet), les logiciels d’analyses des données statistiques (Epi Info 3 .5.3 et Epi 7, Cspro, Statistix et Spss) dans les interventions diverses.

Il a également exhorté le personnel du CME/Barumbu à capitaliser ce temps et de prendre part à cette formation d’actualité informatique pour être compétitif dans le domaine sanitaire  en vue de fournir des informations et statistiques  fiables sur les  centres de santé. ACP/FNG/ZNG/Wet

Kinshasa, 28 septembre 2016 (ACP).- L’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) organise, en partenariat avec Makerere University Business School de Kampala en Ouganda, du 15 au 17 novembre 2016, un stage de renforcement des compétences pédagogiques de nouveaux enseignants du supérieur, a rapporté mercredi à l’ACP le Centre numérique de l’AUF de Kinshasa.

Selon la source, ce stage qui se déroulera à Kampala vise à améliorer les pratiques pédagogiques dans l’enseignement du français langue seconde (FLS), français langue étrangère (FLE) et français sur objectifs spécifiques (FOS). Il  sera animé pendant les trois jours par deux experts internationaux de ces disciplines.

L’AUF lance un appel à candidature, notamment aux enseignants de français (titulaires ou vacataires) dans les établissements membres de l’AUF en Afrique centrale et Grands Lacs.

Tous les enseignants en poste peuvent répondre à cet appel, mais la priorité sera donnée, dans la sélection, aux enseignants ayant moins de 5 ans d’expériences, indique cette source, soulignant  que l’inscription en ligne passe par l’AUF, et la date limite des candidatures est fixée pour le 30 septembre 2016. Une attestation du responsable direct et un tableau récapitulant les cours dispensés doivent être joints au dossier. ACP/FNG/ZNG/Wet

Kinshasa, 05 octobre 2016 (ACP).- Christian Matata, élu président de la Fédération de volley-ball du Congo (FEVOCO), dimanche dernier au siège du Comité olympique congolais (COC), dans la commune de Limete, a promis, à l’issue du scrutin que la mission du nouveau comité exécutif s’articulera, pendant la durée de son mandat de quatre ans, sur la concertation et l’engagement.

La concertation avec les partenaires impliquées dans cette œuvre, pour élucider ensemble les goulots d’étranglement du volley-ball aux niveaux national et local, mais aussi de privilégier de façon responsable, l’émergence des solutions durables, a-t-il indiqué. Il a demandé l’’engagement de chacun là où il se trouve et être prêt à répondre, par son volontariat, à œuvrer pour le succès de nos objectifs communs.

S’appuyant sur le document intitulé : ‘‘Œuvrons ensemble pour le renouveau du volley-ball en RDC’’, le nouveau président de la FEVOCO a dit qu’en volley-ball comme dans les autres disciplines sportives, on recherche des leaders, des athlètes à potentiel, qui savent non seulement écouter, mais aussi persévérer en ne reculant devant aucune difficulté. « Le volley-ball dans notre pays, possède les atouts pour son développement, car il bénéficie d’une mosaïque d’athlètes et des cadres ayant la volonté et la détermination de faire avancer ce sport, malgré les conditions non adéquates et le manque de subventions publiques. Un volley-ball du mieux-être, un volley-ball de solidarité, un volley-ball de compétition et un volley-ball d’élite et celui que nous voulons instaurer », a expliqué Christian Matata.

Formation des cadres et relance du volley-ball scolaire

 Autrement dit, et à partir de ces deux principes, a ajouté le nouveau numéro un national de volley-ball, nous devrions progressivement mais fièrement consolider nos acquis et surtout, avoir au triple plan administratif, technique et organisationnel, les soucis du résultat concret. La confiance mutuelle, elle est fondamentale, au regard de l’urgence et la nécessité de garantir l’existence et la pérennité de notre volley-ball ; la vulgarisation et la promotion de la discipline : par la formation et le recyclage des cadres administratifs et techniques ; la formation sportive des jeunes joueurs : le redémarrage du volley-ball au niveau des poussins, minimes et cadets avec un accent particulier en milieu scolaire ; la reconstitution de toutes les différentes catégories des sélections nationales (U17, U19, U20, U21 et U23). La redynamisation de l’administration du volley-ball, par la responsabilisation des cadres ayant des compétences en la matière.

Nous n’avons donc pas le droit de trahir cette mission, a-t-il poursuivi, au risque de passer à côté de l’espérance d’une communauté à qui la nature a tout donné : terrains plats, eucalyptus plus que droit, filets de pêche, jeunesse dynamique, qui n’aspire qu’à l’excellence dans l’unité et la concorde que nous devons à tout prix redorer.

En guise de conclusion, je voudrais pour ma part vous rassurer de mon entière et sincère disponibilité ainsi qu’à toute l’équipe qui m’accompagnera dans cette exaltante mission de l’assumer comme un défi lancé à tous’’.

« Christian Matata, une œuvre de la Police nationale »

Intervenant pour sa part, la présidente de l’Entente urbaine de volley-ball de Kinshasa (EUVOKIN), Christiane Nzuzi Namani, a révélé ce qui suit : « J’étais présidente de l’équipe de volley-ball de la Police nationale congolaise (PNC) et Christian Matata y avait été comme joueur. Une manière de relever que l’honneur de l’élévation de Christian Matata, on le doit tout d’abord à la Police nationale congolaise. Ceci pour dire que nous avons beaucoup de compétences à la PNC qui est une école de formation, une école d’excellence. Aujourd’hui, un athlète de la Police nationale devient le patron, le numéro 1 du volley-ball en RDC. Tout le plaisir est pour nous les policiers. Quant à ce que j’attends de lui ? Son plan d’action plaide en sa faveur. C’est un garçon que je connais bien, c’est un monsieur qui est responsable, intègre, un amateur du volley-ball. Il fera de grandes choses, je vous l’assure. Il était athlète, il a fait beaucoup au sein de l’équipe de volley-ball de la PNC. A l’époque, ce n’est pas n’importe qui ni aucune équipe qui s’habillait en ‘’Joma’’ mais nous à la Police, on a porté cette marque, c’était l’œuvre de Christian Matata ». ACP/Kayu/ZNG/Wet

Kinshasa, 05 octobre 2016 (ACP).- Les vingt sélections toujours en course dans les qualifications de la Confédération africaine de football (CAF) pour la Coupe du monde de la Fédération internationale de football association (FIFA)-Russie 2018 entrent dans le vif du sujet, le week-end du 9 octobre 2016, avec les premiers matches de la phase de groupes, rapporte Fifa.com.

Sachant que seuls les vainqueurs de groupes gagneront le droit de représenter le continent africain, les matches pèseront lourd d’entrée, les équipes étant conscientes qu’un faux pas initial les contraindrait à faire la course derrière.

Le groupe B, rendez-vous de cadors

Il sera essentiel de ne pas manquer son départ dans l’effrayant groupe B, où l’on retrouve trois équipes ayant participé aux phases finales de la Coupe du monde en 2010 et en 2014. Fifa.com explicite que c’est la Zambie, championne d’Afrique 2012, qui aura le peu enviable honneur de ferrailler avec l’Algérie, le Nigeria et le Cameroun. Les Chipolopolo, qui ont échoué dans les qualifications pour la phase finale de la Coupe d’Afrique des nations-Gabon 2017, recevront les Super Eagles, lors de la 1ère journée.

« Avec tous les autres joueurs, on est en forme et prêts. On est déterminés à lancer la course pour la Coupe du monde par une victoire », a annoncé le capitaine du Nigeria, Mikel John Obi. Le sélectionneur des Super Eagles, Gernot Rohr, a convoqué un groupe regorgeant de stars basées en Europe. Parmi elles, on notera l’attaquant Kelechi Iheanacho, très en verve avec Manchester City, et le jeune Isaac Success, qui briguera sa première sélection en A.

À l’inverse, l’entraîneur de la Zambie, Wedson Nyirenda, s’appuiera essentiellement sur les têtes d’affiche de la Super League locale pour offrir au pays d’Afrique australe sa première participation à une phase finale de Coupe du monde. L’autre match du groupe verra l’Algérie, qui vient de céder sa place de numéro un africain à la Côte d’Ivoire, accueillir le Cameroun.

Le Sénégal pour continuer son festival

Selon Fifa.com, pour l’Afrique du Sud, pays hôte de l’édition 2010, la compétition préliminaire de la Coupe du monde représente une occasion en or de faire oublier la désastreuse campagne qualificative pour la Coupe d’Afrique des nations-Gabon 2017. Lors de cette 1ère journée, les Bafana Bafana affrontent le Burkina Faso, à Ouagadougou. Tout autre résultat qu’une victoire ne fera que resserrer l’étau autour du sélectionneur, Shakes Mashaba, déjà sous pression.

Même si les Sud-Africains ont enregistré le pire bilan de leur histoire en éliminatoires de la CAN, Mashaba se veut positif quant aux chances de qualification pour le rendez-vous russe. « Jusqu’aux 30 derniers mètres, notre circulation de balle fait partie des meilleures du monde, mais nous n’arrivons pas à concrétiser. Cela dit, au vu de la façon de jouer des gars, je ne doute pas un instant que nous allons nous qualifier pour la Coupe du monde, » a-t-il annoncé.

Le plus gros client de l’Afrique du Sud dans le groupe D sera sans nul doute le Sénégal, très en forme en ce moment, qui lance les hostilités à domicile face au Cap Vert. Sous la houlette de l’ancien international Aliou Cissé, les Lions de la Teranga ont signé le seul bilan parfait des qualifications de la CAN. Il prône un style de jeu offensif qui convient bien au profil de son équipe. Homme de base de la ligne d’attaque, le pensionnaire de Liverpool Sadio Mané est épaulé par l’expérimenté Moussa Sow, rappelé par Cissé. De retour à Fenerbahce après un prêt au Moyen-Orient, Moussa Sow n’a pas porté les couleurs du Sénégal depuis mars 2015.

Chocs de coaches aguerris

Dans le groupe E, l’Égypte se mettra en quête d’une qualification qui lui échappe depuis 1990, rappelle Fifa.com. En éliminant le Nigeria des qualifications pour la CAN, les Pharaons d’Hector Cuper ont engrangé de la confiance en vue de cette nouvelle campagne. Sa troupe se déplace à Brazzaville, au Congo, pour son premier match.

Le plus gros concurrent de l’Égypte sera sûrement le Ghana, qui brigue une quatrième participation consécutive à l’épreuve suprême du ballon rond. L’équipe d’Avram Grant se lance à domicile contre l’Ouganda. Tout autre résultat qu’une victoire constituera une immense surprise, compte tenu de la qualité des Black Stars évoluant à l’étranger, parmi lesquels Baba Rahman, Afriyie Acquah et Christian Atsu. Grant devra toutefois se passer des services d’André Ayew, qui pourrait être écarté des terrains pendant plusieurs mois suite à une blessure à la cuisse.

Les Libyens à Kinshasa

La Tunisie et la Lybie ont été versées dans le groupe A, mais il faudra attendre la 2ème journée pour assister à l’alléchant duel entre les deux nations nord-africaines. Les Libyens se rendent en RD Congo pour leur premier match, samedi 8 octobre au stade des Martyrs, à Kinshasa, tandis que la Tunisie, dont la dernière participation à la Coupe du monde remonte à 2006, se lance à domicile contre la Guinée.

Le sélectionneur des Guinéens, Lape Bangoura, espère que son équipe se mettra sur de bons rails à Monastir. « Le tirage au sort du troisième tour des qualifications ne nous a pas été très favorable. La RD Congo et la Tunisie sont les deux favoris du groupe, mais cela ne veut pas dire que nous n’avons pas d’ambition, bien au contraire. Notre premier match en Tunisie est très important. Un nul constituerait un bon résultat, » a-t-il affirmé.

Le groupe E verra le Gabon, le Maroc, le Mali et la Côte d’Ivoire se disputer la seule place en jeu. Pays organisateur de la phase finale de la Coupe d’Afrique des nations 2017, le Gabon accueille le Maroc, lors de la 1ère journée. Quant au duel entre le Mali et la Côte d’Ivoire, il promet des étincelles. ACP/Kayu/ZNG/Wet

Kinshasa, 05 octobre 2016 (ACP).- Des  orages accompagnés des  pluies sont attendus sur  la ville province de Kinshasa et les provinces du Kongo Central, du Haut-Katanga, du Haut-Lomami, de Lualaba, de Tanganyika, de  Lomami, du Kasaï-Central, du Sankuru, du Kasaï, du Kasaï-Oriental, selon les renseignements de la METELSAT parvenus à l’ACP.

Des passages nuageux avec orages et pluies seront observés sur  les provinces de  Mai-Ndombe, du Kwango, du Kwilu, de l’Equateur, de la Tshuapa, de la Mongala, du Nord-Ubangi, du Sud-Ubangi, du Haut Uélé, du Bas-Uélé, de la Tshopo, de l’Ituri, du Nord-Kivu, du Sud-Kivu et du Maniema.

Les températures prévues varieront comme suit selon les différentes villes : Kinshasa 25C-30C, Inongo 24C-29C, Kenge 23C-28C, Mbandaka 23C-29C, Boende 24C-30C, Lisala 25C-30C, Kisangani 25C-29C, Bunia 21C-25C, Goma 18C-22C, Kindu 24C-29C, Mbuji-Mayi 24C-29C, Kananga 24C-30C, Lubumbashi 22C-31C, Kolwezi 22C-26C. Quant au levé et au couché du soleil ; à Bukavu le soleil se lèvera à 05h 47 min 36séc et se couchera à 17h 57 min 42 sec.  Le soleil se lèvera à 05h 15min 06sec et se couchera à 17h 21 min 42 sec dans la ville de Lusambo. ACP/ZNG/Wet

Kinshasa, 05 octobre 2016 (ACP).- La communauté internationale commémore,  le 06 octobre de chaque année, la Journée nationale des aidants (JNA). L’enjeu de la Journée nationale des aidants,  selon les organisateurs, est  de sensibiliser à ce phénomène, mais aussi d’informer sur les soutiens propres à aider les aidants.

La Journée Nationale des aidants rassemble tous les 6 octobre l’ensemble des acteurs mobilisés pour leur cause. Il s’agit des associations, des  pouvoirs publics, des collectivités, des mutuelles, des entreprises, et aussi des citoyens, étant donné la problématique de l’accompagnement est l’affaire de tous.

La Journée nationale des aidants a été créée en 2015 avec un groupe de partenaires élargis  et engagés dans la sensibilisation de la société à la problématique des aidants. Le but est de soutenir les aidants, les reconnaître, les informer et les épauler. La démarche vise à anticiper sur l’évolution du vieillissement de la population. C’est aussi  pour prévenir à grande échelle les situations d’épuisement,  de maltraitance ou la surmortalité.

Un aidant est une personne qui prend soin au quotidien d’un proche âgé, malade, ou en situation de handicap. En 2013, cette aide bénévole a été évaluée comme représentant une contribution annuelle de l’ordre de 164 milliards d’euros. 8.3 millions de personnes sont l’aidant naturel d’un proche.

Dans d’autres pays, 48% d’entre elles, développent une maladie chronique liée au stress et à l’épuisement, d’où l’intérêt d’apporter des aides à ces aidants et de les reconnaître à travers une journée qui leur est consacrée. ACP/ZNG/Wet

Kinshasa, 05 octobre 2016 (ACP).- Le  prix Nobel de physique 2016 a été décerné mardi aux trois théoriciens britanniques de la matière « exotique », indique un communiqué du Comité décernant parvenu mercredi à l’ACP.

David Thouless, Duncan Haldane et Michael Kosterlitz, trois physiciens britanniques qui ont fait carrière aux Etats-Unis,  ont été récompensés  pour leurs travaux théoriques sur des états inhabituels de la matière : supraconducteurs, superfluides, films minces magnétiques.

Les lauréats, selon les indications, ont appliqué des concepts issus d’une branche des mathématiques « la   topologie »- pour renouveler la compréhension de ces états « exotiques » de la matière.

L’utilisation de la topologie a permis  aux trois lauréats de comprendre le comportement de certains matériaux dans des conditions inhabituelles, notamment à très basses températures. Leurs travaux, soutient-on, ont donné naissance à un nouveau champ d’exploration en physique de la matière condensée, à la recherche d’isolants topologiques, de supraconducteurs topologiques, de métaux topologiques. Outre des résultats théoriques, des nouvelles générations de matériaux pour l’électronique, la supraconduction, et le futur ordinateur quantique.

David J. Thouless est né en 1934 à Bearsden Royaume-Uni).  Physicien, diplômé en 1958 de Cornell University  (USA). Il est Professeur émérite à l’Université de  Washington (Seattle, Etats-Unis).F. Duncan M. Haldane, est né en 1951 à Londres (Royaume-Uni). Physicien diplômé en 1978 de Cambridge University (Royaume-Uni). « Eugene Higgins Professor » à  l’université Princeton (Etats-Unis). Quant à J. Michael Kosterlitz, né en 1942 à Aberdeen (Royaume-Uni). Physicien, diplômé en 1969 de l’Université d’Oxford (Royaume-Uni). Il est professeur à la Brown University, Providence (Etats-Unis). ACP/ZNG/Wet

Kinshasa, 05 octobre 2016 (ACP).- La mise en place d’un programme national  de lutte contre la surdité a été recommandée mercredi à Kinshasa, par le Dr Damien Lumbu Malundama, médécin spécialiste en ORL, au cours d’une journée de sensibilisation organisée au Centre Walllonie-Bruxelles.

 Il a également démandé aux autorités de la RDC de collaborer et de souternir financièrement et matériellement les structures qui s’occupent des sourds et de former le personnel de santé à tous les niveaux en vue de renforcer  leur capacité à reconnaitre la pathologie pour une bonne orientation   et  une nécessaire prise en charge .

On dénombre deux types de surdité.   Celle congénitale ( héréditaire, histoire familiale, le syndrome génétique ou trisomie, la consommation d’alcool, de drogue et autres, pendant la  grossesse), et celle acquise et provoquée notamment par le corps étranger (le bouchon de cerumen), à l’infection(oreillons, rubéole, méningite),  aux traumatismes sonores(durée d’exposition, intensité due aux sons), aux traumatismes cranio-encéphaliques, aux médicaments ototoxiques,a-t-il dit.

Le Dr LUmbu a indiqué  que la surdité a des conséquences économiques( la chaine de dépense élevée pour la prise en charge, l’apprentissage, la réinsertion) sur le plan  social, la marginalisation, la perte d’emploi, l’isolement, la frustration et les troubles de langage),  et sur  le plan  affectif la maltraitance,  le trouble d’humeur ( anxiété, l’irritabilité).

 La vaccination demeure le mode indiqué de prévention. Il est recommandé  d’éviter l’intotoxication pendant la grossesse, de contracter le mariage consanguin, d’aller aux consultations prénatales et préscolaires . L’exposion aux sons néfastes ,le recours à  l’automédication et  à l’autotoxicité, sont déconseillés,   a soutenu le Dr Lumbu.

La maladie existe et nécesite une sensibilisation à l’information, à un changement de comportement, à une bonne  prise en charge médicale(chururgie et autres) et à  la reinsertion  dans la société, a-t-il conclu. ACP/ZNG/Wet

Kinshasa, 05 octobre 2016 (ACP).- Les sourds occupent près de 2% de la population en République Démocratqiue du Congo, a déclaré, mercredi à kinshasa, la vice-présidente de la «Fondation Gradi », Bijou Matonsi Mputu, au cours d’une journée de sensibilisation organisée au Centre Walllonie-Bruxelles.

Selon Mme la vice-présidente, cette journée est célébrée chaque derniere semaine du mois de septembre, soit le dernier samedi du mois, suivant la récommandation de la Fédération mondiale de sourds à 124 pays et aux associations nationales. « Gradi » a organisé  cette journée  dans le but de sensibiliser la population congolaise à la reconnaissance de la  culture sourde et à la langue des signes,  a-t-elle dit.

La journée mondiale des sourds  vise également à mieux informer et à rendre plus visible le monde de la surdité, en leur offrant la possibilité de  faire comprendre toutes les difficultes auxquelles ils sont confrontés quotidiennement.

Elle leur offre aussi l’opportunité d’exprimer leurs volontés d’intégrer  la vie sociale et de  révendiquer leurs droits d’égalité comme tout citoyen étant donné qu’ ils font face  à des nombreux injustices tant au niveau familial que social, a souligné Mme Matonsi.

Mme Mputu a à cette occasion plaidé pour l’amélioration de leurs conditions de vie au motif que ces personnes n’ont pas accès à la fois à l’éducation, à la santé et à la culture d’information.

Un appel a été lancé aux autorités et  aux acteurs  du secteur éducatif  afin de  tout mettre en œuvre pour que l’éducation inclusive  cesse d’etre un slogan mais que les sourds  soient aussi pris en compte.

Par ailleurs, Me Alie Mirimo Kabetsi, directrice générale du Fonds national de pomotion et de service social (FNPSS), a fait part de l’engagement de son institution d’appuyer la mise en œuvre des recommandations formulées au cours de la table ronde des états généraux sur la situation des personnes handicapées en RDC.

Organisée par la Fondation Gradi,  en collaboration avec le FNPSS et le Centre Wallonie-Bruxelles, cette journée a été reconnue par l’ONU en 1959, a-t-on appris. ACP/ZNG/Wet

Kinshasa, 05 octobre 2016 (ACP).- Le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel (EPSP), Maker Mwangu a visité, mercredi à Kinshasa,  les enseignants et/ou leurs membres de famille affiliés malades pris en charge par la Mutualité de santé des enseignants de l’EPSP (MESP/ASBL).

Accompagné du président de la MESP ASBL, Guy Mafuta, du représentant de l’UNESCO en RDC, ABDOURAHAMANE Diallo,  le ministre Maker Mwangu s’est rendu tour à tour à la Maternité de Binza, à l’hôpital général de référence de N’Djili et au bureau de la coordination de la MESP ASBL de Ndjili pour s’enquérir de la situation des malades et écouter leurs doléances.

Il s’est également rendu compte de la qualité des soins offerts aux enseignants, de l’évolution du travail de la mutuelle dans ces deux formations médicales.

Et au bureau de la coordination de MESP ASBL de  N’Djili, le ministre de l’EPSP a discuté avec les enseignants qui sont venus, soit pour retirer la carte MESP ASBL, soit pour consigner les rendez-vous avec des médecins.

Les enseignants trouvés au bureau de la coordination se sont plaint de manque de spécialistes dans les formations médicales conventionnées et des « tracasseries administratives ». Les enseignants en ont profité pour parler de la situation de leur salaire et de la retraite.

Répondant aux préoccupations des enseignants, le représentant de l’UNESCO a indiqué que son institution ne prend en charge que l’enseignement primaire. « Nous sommes en train de voir dans quelle condition améliorer la qualité de vie des enseignants.  Il faut encourager nos initiatives. Les problèmes de salaire et de retraite seront toujours examinés », a-t-il dit.

Pour clôturer ses visites, le ministre de l’EPSP a remis un présent aux enseignants malades et aux membres de leurs familles affiliés au MESP ASBL, notamment des paniers garnis de fruits, biscuits,  jus, sucre, lait… à la maternité de Binza, à l’hôpital général de référence de N’Djili. Au bureau de la coordination de la MESP ASBL de Ndjili, Maker Mwangu a partagé un cocktail avec les enseignants et membres de leurs familles affiliés au MESP ASBL trouvés sur le lieu.

La Mutualité de santé des enseignants de l’EPSP (MESP/ASBL) regroupe les enseignants œuvrant au sein du ministère de l’EPSP connu sous le régime SECOPE. Elle a été créée par l’Assemblée générale constituante de la MESP ASBL, le 20 février 2010  et le démarrage effectif de l’accès aux soins par ses affiliés est intervenu le 11 novembre 2011. ACP/ZNG/Wet

Kinshasa/Bruxelles, 05 oct. 2016 (ACP/BELGA).- Le jury de la cour d’assises de Bruxelles a reconnu, mercredi, l’accusé Imbata Bokolongo coupable d’incendie volontaire, mais l’a acquitté du meurtre de Sandrina Barbeau, d’après le bureau du procureur Thibault de Sauvage.

Imbata Bokolongo, âgé de 50 ans, de nationalité congolaise, était accusé de meurtre de sa jeune collègue Sandrina Barbeau en avril 2013 à Molenbeek-Saint-Jean, et d’avoir mis le feu à son appartement pour dissimuler les faits.

L’accusé a nié toute implication dans les faits et ne s’est même pas présenté mercredi à son procès auquel il comparaissait libre.

Le corps calciné de Sandrina Barbeau, âgée de 27 ans, avait été découvert le 03 avril 2013 dans son appartement, avenue du Daring, à Molenbeek-Saint-Jean.

Les pompiers avaient détecté deux à trois foyers d’incendie et affirmé qu’il s’agissait d’un acte volontaire. Les médecins légistes et l’expert toxicologue avaient, quant à eux, conclu que la victime était déjà décédée au moment de l’incendie.

L’enquête s’était rapidement dirigée vers Imbata Bokolongo qui travaillait avec la victime à l’hôtel club « Prince Albert », rue des Petits Carmes à Bruxelles. La police avait constaté que cet homme correspondait à la description de l’individu aperçu par les voisins de Sandrina Barbeau dans l’immeuble peu avant et peu après l’incendie.

Les relevés téléphoniques avaient révélé par ailleurs que la victime demandait régulièrement des conseils à l’accusé pour gérer sa relation amoureuse avec son ex-compagnon. Les SMS évoquaient des « cérémonies et des incantations ».

Sur ce point, l’accusé avait affirmé qu’il était personnellement catholique et très croyant, mais qu’il n’avait fait que donner des conseils à la victime sans recourir à l’exorcisme.

Un mandat d’arrêt à l’encontre de l’accusé

Son absence, mercredi, au dernier jour du procès, a fortement inquiété le procureur Thibault de Sauvage qui a immédiatement décerné un nouveau mandat d’arrêt à l’encontre de l’accusé, justifié sur base d’une plainte pour des faits d’escroquerie dans une toute autre affaire.

Le procureur ne pouvait plus ordonner une prise de corps de l’accusé dans le cadre de ce nouveau dossier, compte tenu de la décision de libération provisoire émise après le renvoi de l’intéressé aux assises. ACP/ZNG/Wet

Kinshasa, 05 oct. 2016 (ACP).- L’ancien vice-président de la République Arthur Zahidi Ngoma est décédé, mercredi, à Paris, où il a été transféré en urgence, a-t-on appris le même jour à Kinshasa de sources médicales.

Arthur Z’ahidi Ngoma est né le 18 septembre 1947 à Kalima, province du Maniema. Homme  politique, il a été l’un des quatre vice-présidents, chargé de la Commission sociale et culturelle (2003-2007) pendant la période de transition (1+4) de la République Démocratique du Congo.

Il était détenteur d’une licence en droit de la Faculté de droit et des sciences économiques de l’Université d’Orléans (France) en 1976 et d’un doctorat d’État en droit de l’Université de Paris I (Panthéon Sorbonne) en 1981.

Lauréat des universités françaises, il a fait plusieurs recherches en droit international public, droit international économique, droit financier et monétaire international.

De 1978 à 1998 à Paris, il a été fonctionnaire de l’UNESCO, où il a assumé notamment les fonctions de responsable de programme mondial de l’UNESCO concernant la paix, le désarmement, la recherche et l’éducation en droit international public.

En 1998, il rejoint le Rassemblement congolais pour la démocratie (RCD), mais quatre mois après, il s’en est séparé. Il a ensuite créé en janvier 1999 à Bruxelles l’Union des Congolais pour la Paix (UCP) avec pour objectif de faire comprendre et défendre l’impératif du dialogue inter congolais. Il a entrepris de consulter à cet effet des forces politiques significatives du pays, dont le président Kabila à qui il a proposé la médiation de la communauté de San ‘Egidio, en la personne du révérend Don Mateo.

Ainsi avait commencé le dialogue inter congolais, qui fut entrepris dans le cadre de l’Accord de Lusaka entre belligérants (1999).

Président des états généraux de l’opposition, une structure réunissant 25 plates-formes politiques du pays, il a préparé le dialogue inter congolais de Sun City (2002).

Après la signature sanctionnant les travaux de Sun City, il fut désigné  par sa composante « opposition politique » Vice-président de la République.

Président national du mouvement politique « Forces du Futur » et président du regroupement politique « Camp de la patrie », il participait aux travaux du dialogue politique national inclusif en cours à la cité de l’Union africaine au sein de la composante « Personnalité ».ACP/ZNG/Wet