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Le Directeur Général des impôts en mission d’inspection dans le Kongo Central

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Kinshasa, 02 Févr. 2018 (ACP).- Le Directeur général des impôts, Sele Yala Ghuli, entreprend dès la semaine prochaine, une visite d’inspection dans la province du Kongo central plus précisément dans les villes de Matadi, chef-lieu de la province  et de Boma, sa capitale économique, a-t-on appris vendredi d’une source proche de cette régie financière.

Selon cette source, le directeur général des impôts, profitera de cette opportunité pour sensibiliser les agents et cadres de la DPI-Kongo Central à redoubler d’efforts dans le cadre de la maximisation des recettes fiscales en vue d’atteindre les assignations fixées par gouvernement et donner à celui-ci les moyens de sa politique.

Le directeur général des impôts, qui a centré son mandat sous le  «signe de l’amélioration des conditions de travail de l’homme» ne manquera pas de s’entretenir avec ses collaborateurs de cette partie du pays sur le  fonctionnement de la direction provinciale des impôts ainsi que  sur les conditions de travail de l’agent de la DGI au Kongo Central. La visite du directeur général des impôts intervient après celle qu’il a effectué en 2017 dans la partie Est de la République. ACP/Fng/YWM/JGD/KJI    

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Fin de la visite de travail de la secrétaire exécutive de la SADC en RDC

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Kinshasa, 02 Févr. 2018 (ACP).- La secrétaire exécutive de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC), Stergomena Lawrence Tax, a regagné l’Afrique du Sud, vendredi, après une visite de travail de 72 heures en République Démocratique du Congo où elle  a eu des entretiens avec les acteurs impliqués dans processus électoral en cours dans ce pays.

Avant de quitter Kinshasa, la secrétaire exécutive de la SADC a échangé avec le président de la Commission électorale nationale indépendante nationale (CENI), Corneille Nangaa, à l’aéroport internationale de N’Djili. Quoi que rien n’ait filtré de cette entrevue, l’on croit savoir que les deux interlocuteurs ont planché sur l’évolution du processus électoral en RDC.

La secrétaire exécutive de la SADC avait, lors de sa conférence de presse, jeudi au ministère des Affaires étrangères et intégration régionale, invité les congolais, en général, et les acteurs politiques, en particulier, à prendre avec beaucoup de sérieux le processus électoral.ACP/Fng/YWM/JGD/KJI 

 

 

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L’ouvrage «Les petits bombons de la sagesse» de Félix Wazekwa, présenté à Léonard She Okitundu

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Kinshasa, 02 Févr. 2018 (ACP).- Le vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères et intégration régionale, Léonard She Okitundu, a reçu jeudi, l’artiste musicien Félix Wazekwa, venu lui présenter son ouvrage «Les petits bombons de la sagesse», un essai de 153 pages publié aux éditions Bergame à Paris, en France en 2017.

Léonard She Okitundu s’est dit intéressé de voir un livre publié par un artiste musicien Congolais, avant de promettre son implication personnelle pour sa promotion. Félix Wazekwa, qui a salué les hommages lui rendu par le vice-Premier ministre She Okitundu, a saisi cette occasion pour inviter tous ceux qui ont des idées d’avoir le courage d’écrire les ouvrages pour apporter quelques choses à la culture congolaise. «Il faut trouve du temps pour écrire», a-t-il souligné.

L’auteur invite, dans son ouvrage, les humains à vivre dans la sagesse car, selon lui, être sage c’est savoir prendre des bonnes décisions au bon moment et résoudre avec efficience  des problèmes qui se posent.

ACP/Fng/YWM/JGD/KJI 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Pour le rétablissement du rôle de l’Etat en matière d’urbanisation

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Kinshasa, 02 Févr. 2018 (ACP).- Le chef de travaux Godefroid Sinzidi Kabuki de la faculté des sciences économiques et de gestion de l’Université de Kinshasa (UNIKIN) a proposé, vendredi lors de la soutenance publique de sa thèse de doctorat, le rétablissement du rôle de l’Etat en matière d’urbanisation en veillant sur les mesures et les dispositions nécessaires à travers une politique de développement urbain durable.

Intitulée « mobilité résidentielle périurbaine et étalement vers la partie Est de Kinshasa, réseaux sociaux, stratégies économiques de survie et insertion urbaine des ménages migrants », cette thèse a valu au récipiendaire la mention «grande distinction». Elle relève la nécessité d’accompagner dans cette politique de développement urbain durable les besoins de logement, les aspirations des ménages, les  constructions anarchiques et l’expansion de la ville de Kinshasa.

Il s’agit également, selon Sinzidi, de prendre dans les différents plans d’aménagement et de développement urbain, la variable démographique qui est l’outil indispensable de la politique économique et de la planification urbaine. Une urbanisation, a-t-il dit, doit tenir compte des mouvements de la population. L’auteur a dégagé la nécessité pour l’Etat d’anticiper l’expansion des villes en reprenant le contrôle sur les procédures d’aménagement, de mettre à niveau les quartiers existants sous-équipés et enclavés.

Développer le transport en commun

Pour l’impétrant, le désengorgement de la ville passe également par le développement du transport en commun. En effet, a-t-il dit, seul le transport routier ne permet pas une bonne circulation de la population dans une mégapole comme Kinshasa, estimé à plus de 10 millions d’habitants.

Le pouvoir devra songer à diversifier le transport urbain avec de différents moyens notamment multimodaux. Il propose, en outre, de veiller à l’ouverture des terrains à lotir au regard de la pression démographique à court terme, à moyen et à long termes. Le grade de docteur en sciences de la population et du développement a été conféré au chef de travaux Godefroid Sinzidi Kabuki par le recteur de l’UNIKIN, le Pr Daniel Ngoma-Ya-Nzuzi.

ACP/Fng/YWM/JGD/KJI 

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Une récompense aux agents ayant totalisé 50 ans de service à l’ACP

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Kinshasa, 02 Févr. 2018 (ACP).- Le directeur général de l’Agence congolaise de presse (ACP), Justin Kangundu Khossy, a annoncé vendredi, une récompense  aux agents et cadres ayant totalisé 50 ans de loyaux service ou plus au sein de ce média public, lors du premier conseil de rédaction de l’année 2018 qu’il a personnellement présidée dans la salle de conférence de cet établissement public. «Ces agents ont fait preuve de loyauté et honoré l’ACP durant cinq décennies, ils méritent les honneurs de toute l’entreprise», a dit Justin Kangundu Khossy, exhortant les plus jeunes à suivre leur exemple et d’améliorer leur rendement pour qu’un jour eux aussi servent de modèle pour les générations futures.

Le directeur général de l’ACP, qui a aussi insisté sur le respect de la ligne éditoriale de l’agence, le sens de responsabilité ainsi que sur le travail en synergie et en franche collaboration, a saisi cette occasion pour exprimer sa gratitude à tous ceux de journalistes qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes au courant de l’année 2017 pour que l’agence maintienne sa place de pourvoyeur d’informations à d’autres organes de presse, avant de présenter ses vœux les meilleurs à l’ensemble du personnel  pour l’année 2018.

Justin Kangundu Khossy, qui  a, par ailleurs, fustigé l’absentéisme, la léthargie et la mollesse de certains journalistes, leur a promis des sanctions en application du barème de sanctions prévues par la convention collective et le règlement intérieur de l’agence.

Les femmes appelées à être compétitives

Aux femmes journalistes, le directeur général de l’ACP a demandé de sortir de leur torpeur pour se montrer aptes, dynamiques et compétitives car, a-t-il renchéri, «les promotions et les fonctions s’arrachent au prix des efforts dans le travail et non à travers le clientélisme et la facilité».

Selon le DG Kangundu, les femmes se sont montrées moins habiles au cours de l’année dernière, tant dans la production que dans la présence au travail. Il les encouragé à, concurrencer leurs collègues hommes, indiquant qu’à l’heure actuelle, dans tous les médias du monde, la meilleure plume est féminine.

Il s’est, en outre, félicité de la réinstauration de la permanence nuit qui, à son avis, a porté des fruits, en récupérant certaines informations pour être à la page et confirmer le leadership de l’ACP dans l’espace médiatique congolais. «Je fais un effort pour améliorer les conditions de travail, de votre côté faites un effort d’améliorer la production et la qualité de nos informations», a-t-il  souligné.

M. Justin Kangundu Khossy a rappelé l’intérêt de tenir régulièrement des conseils de rédaction, ceci en vue de permettre aux jeunes journalistes de progresser dans l’écriture et d’échanger sur l’actualité et des grands événements dans le monde. ACP/Fng/YWM/JGD/KJI

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Un juge fédéral  brésilien rend son passeport à Lula

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Kinshasa, 03 fév. 2018 (ACP).- Un juge fédéral brésilien a ordonné vendredi que le passeport de Luiz Inácio Lula da Silva, confisqué par la justice la semaine dernière après sa condamnation en appel à une peine de prison, soit rendu à l’ancien président, a indiqué samedi l’AFP. Alors qu’il s’apprêtait à partir en Ethiopie pour participer à une conférence de la FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture) en fin de semaine dernière, Lula avait été empêché de quitter le Brésil par un juge fédéral ayant ordonné la confiscation de son passeport. Lula, candidat favori de l’élection présidentielle d’octobre avait annulé son voyage prévu quelques heures plus tard et ses avocats avaient remis son passeport à la justice le lendemain. « Nous ne pouvons pas conclure qu’il avait l’intention de fuir le pays dans le but d’échapper à l’application de notre loi pénale », a expliqué le juge fédéral Bruno Apolinário, à Brasilia. Au contraire sa sortie du pays était justifiée par un engagement professionnel déjà pris. « 

C’est seulement avec beaucoup d’imagination qu’on aurait pu parvenir à la conclusion du juge de première instance ayant ordonné la confiscation de son passeport », ajoute le juge. Mercredi la semaine dernière, un tribunal de Porto Alegre (sud) avait confirmé que Lula était coupable de corruption passive et de blanchiment d’argent pour avoir accepté un triplex en bord de mer de la part d’une entreprise de construction. La cour d’appel avait également aggravé sa peine de prison d’un tiers, à 12 ans et un mois, tout en le laissant libre en attendant l’issue des recours de sa défense. Avec la perte de son procès en appel, Lula ne semble pas être dans l’immédiat menacé de prison, mais voit ses chances de se présenter pour un troisième mandat gravement compromises. Mais les juges qui l’ont condamné avaient expliqué que la figure de proue de la gauche brésilienne, favori des sondages à l’élection présidentielle d’octobre, commencerait à purger sa peine dès que tous les recours de seconde instance auraient été épuisés.

Ceci signifie potentiellement la prison pour Lula dans quelques semaines ou quelques mois, une fois épuisés les recours devant les instances supérieures, Tribunal Supérieur de Justice du Brésil (STJ), ou Cour suprême. Vendredi, ses avocats ont déposé une demande d’Habeas Corpus préventif devant la Cour suprême afin de lui éviter la prison, trois jours après le rejet par le STJ d’une demande similaire. Cette requête vise à « contrer toute menace de suppression (immédiate ou à moyen terme) de la liberté de circulation due à une illégalité ou un abus de pouvoir », selon cette demande écrite signée par 11 avocats et auquel l’AFP a eu accès. Parallèlement, les avocats de Lula ont également saisi mardi le Conseil des droits de l’homme des Nations unies à Genève pour dénoncer la partialité, selon eux, de la justice brésilienne. La défense de Lula avait déjà saisi le Conseil des droits de l’homme de l’ONU en 2016 après le début de ses démêlés judiciaires, sans avancée notable. Le Conseil n’a pas encore décidé s’il accepte de se saisir de ce dossier, ce qui peut prendre jusqu’à cinq ans. ACP/YHWM/BSG/Kgd

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Désaccords sérieux en vue d’un gouvernement en Allemagne

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Kinshasa, 03 fév. 2018 (ACP).- Angela Merkel a fait état vendredi de désaccords « sérieux » avec les sociaux-démocrates dans les négociations pour tenter de former un gouvernement en Allemagne, qui sont entrées dans leur dernière ligne droite, ont indiqué samedi les agences internationales. « Il y a encore toute une série de points de divergences sérieux », a déclaré la chancelière conservatrice à l’entame des derniers jours de tractations censées sortir la première économie européenne d’une impasse politique. Elles doivent s’achever dimanche soir ou, au plus tard, en début de semaine prochaine. « Nous avons encore beaucoup de travail devant nous », a-t-elle dit à la presse.

« J’espère que nous allons réussir mais les problèmes ne sont pas encore résolus », a-t-elle ajouté. L’Allemagne se trouve plongée dans un imbroglio politique inédit depuis les élections législatives du 24 septembre qui n’ont dégagé aucune majorité claire pour gouverner le pays. Après avoir échoué en novembre à former une coalition hétéroclite avec les Libéraux et les Verts, la chancelière tente depuis début janvier de former un gouvernement avec les sociaux-démocrates du SPD, avec qui elle a déjà gouverné à deux reprises dans le passé.

Le président du SPD, Martin Schulz, a lui aussi jugé qu’il y avait « encore beaucoup de choses à négocier pour parvenir à un accord ». Les discussions butent encore sur deux points principaux: le marché du travail et la santé. Très divisés sur l’opportunité même de servir à nouveau d’appoint aux conservateurs pour former une coalition majoritaire au Parlement, les sociaux-démocrates exigent pour prix d’une alliance moins de flexibilité sur le marché du travail et une réduction des inégalités entre milieux modestes et aisés dans la santé. Concrètement, ils demandent que le recours aux contrats à durée déterminée (CDD) soit restreint et un rapprochement des régimes d’assurance maladie public et privé, dont la distinction alimente à leurs yeux « une médecine à deux vitesses ».

Les conservateurs refusent jusqu’ici de céder sur les deux points. Mais un autre point de friction, qu’on pensait pourtant évacué, a réapparu vendredi autour du nombre de demandeurs d’asile autorisés à venir chaque année en Allemagne, sujet très sensible dans l’opinion depuis que plus d’un million d’entre eux sont entrés dans le pays depuis 2015. Les deux camps s’étaient mis d’accord début janvier pour limiter leur nombre à entre 180.000 et 220.000 par an, une revendication des démocrates-chrétiens d’Angela Merkel. Mais, selon l’agence de presse allemande DPA, le SPD demande désormais que cet ordre de grandeur soit purement indicatif alors que les conservateurs jugent la limite supérieure contraignante. ACP/YHWM/BSG/Kgd

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Macron annonce une aide 15 millions d’euros pour lutter contre une érosion à Saint-Louis du Sénégal

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Kinshasa, 03 fév. 2018 (ACP).- Une foule impressionnante a accueilli samedi à Saint-Louis du Sénégal le président français Emmanuel Macron, qui a annoncé une aide de 15 millions d’euros pour lutter contre l’érosion côtière qui menace la ville, auxquels s’ajouteront 24 millions d’euros débloqués par la Banque Mondiale, a rapporté l’AFP.

M.Macron a également annoncé une aide de 25 millions d’euros pour la préservation et la rénovation du patrimoine historique de l’ancienne capitale de l’Afrique-Occidentale française et du Sénégal. L’assaut des vagues a déjà obligé 200 familles de Saint-Louis à déménager, soit environ 2.000 personnes, et à terme ce sont près de 10.000 qui devront être relogées, selon Louise Cord, directrice Sénégal de la Banque Mondiale. D’après la même source, le samedi matin, des dizaines de milliers d’habitants ont envahi le centre de cette ville de pêcheurs du nord du pays, à l’embouchure du fleuve Sénégal, qui fut le premier établissement fondé au sud du Sahara par la France au XVIIe siècle.

Arrivé en avion de Dakar, où il participait la veille à une conférence sur l’éducation, Emmanuel Macron, 13 ans après la dernière visite de son prédécesseur Jacques Chirac, était accompagnée à Saint-Louis de son homologue sénégalais Macky Sall. Massés sur plusieurs rangs, les habitants ont salué les deux présidents lors de leurs différents arrêts avec de chants de bienvenue, des portraits des deux présidents et de leurs épouses, des banderoles et des drapeaux français et sénégalais. Après avoir annoncé vendredi la hausse de l’engagement français dans le Partenariat mondial pour l’éducation (PME) à 200 millions d’euros, contre 17 millions précédemment, M. Macron a indiqué que l’Agence française de développement (AFD) allait débloquer 15 millions d’euros pour la construction « en un an » de murs pour protéger les habitants de la Langue de Barbarie.

Cette somme devra aussi servir à la construction d’une longue digue dans la partie sud de cette étroite bande de sable d’une trentaine de kilomètres de long qui protège la ville mais qui est rongée par l’érosion. Autrefois d’un seul tenant, la Langue de Barbarie a été sectionnée par le creusement en 2003 d’un canal destiné à évacuer les eaux du fleuve Sénégal et éviter la submersion de la ville lors des fortes pluies. Aux côtés d’Emmanuel Macron, le président de la Banque Mondiale, Jim Yong Kim, a pour sa part dévoilé un plan de financement de 30 millions de dollars (24 millions d’euros) pour reloger 900 familles, soit environ 10.000 personnes, vivant dans les quartiers de pêcheurs les plus touchés. A plus long terme, l’institution basée à Washington a lancé une étude pour tenter de trouver une solution plus durable face à la montée des eaux.

La construction de digues promises par la France devrait donner le temps aux familles de déménager. « Ils devront partir à terme, on ne pourra pas arrêter la mer », a déclaré Laurence Hart, directrice Sénégal de l’AFD. Par ailleurs, le maire de Saint-Louis, Mansour Faye, avait alerté Emmanuel Macron sur la situation dramatique de sa ville lors du Sommet One Planet du 12 décembre. Fondée en 1659, Saint-Louis a été la tête de pont de la conquête coloniale française au sud du Sahara. La ville fut ensuite la capitale de l’Afrique-Occidentale française (1895-1902) et celle du Sénégal jusqu’en 1957. Les façades décrépies du coeur historique et les murs fissurés de sa cathédrale soulignent son déclin ces dernières années. Le gouvernement sénégalais a lancé des programmes de réhabilitation de ce patrimoine classé par l’Unesco, dont les résultats tardent toutefois à se concrétiser. Emmanuel Macron a annoncé une enveloppe de 25 millions d’euros pour « la cathédrale, les maisons, la place Faidherbe ». ACP/YHWM/BSG/Kgd

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L’Egypte dévoile la tombe d’une prêtresse du temps des pharaons

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Kinshasa, 03 fév. 2018 (ACP).- Des archéologues égyptiens ont découvert au sud du Caire la tombe d’une prêtresse de l’Ancien Empire ornée de rares peintures murales bien conservées, a annoncé samedi le ministre des Antiquités cité par l’AFP.

La tombe a été construite pour Hetpet, prêtresse pour la déesse de la fertilité Hathor, a précisé le ministre Khaled al-Anani lors d’une conférence de presse. Selon la même source, elle a été découverte dans un cimetière proche des pyramides de Guizeh par une équipe d’archéologues égyptiens dirigée par Mostafa Waziri, secrétaire général du conseil suprême des Antiquités.

Ce cimetière renferme les tombes de hauts responsables de la Ve dynastie des pharaons (2494-2345 avant J-C), dont certaines ont été excavées lors de précédentes missions archéologiques, a poursuivi le ministre. Le style architectural de la tombe, ses décorations, ses peintures murales colorées ainsi que son entrée menant à une pièce en forme de L avec un bassin sont propres à cette époque, selon le ministère.

« Hetpet est représentée sur des peintures murales très bien conservées en train de pêcher et de chasser », d’après le ministère. Sur les parois figurent aussi des scènes de performances musicales, de danse mais également deux singes, animaux domestiques à cette époque, dont l’un danse devant un orchestre.

« Ce type de scènes est rare Elles ont seulement été trouvées dans une tombe (datant de l’Ancien Empire) où une peinture montrait un singe danser devant un guitariste et non devant un orchestre », a précisé M. Waziri.

Il a indiqué que les fouilles allaient se poursuivre dans cette zone, avec l’espoir de nouvelles découvertes. L’Egypte a ces deux dernières années données son feu vert à plusieurs projets archéologiques dans l’espoir de trouver de nouveaux trésors, au moment où le secteur touristique, un des piliers de l’économie, peine à véritablement décoller, en raison de l’instabilité sécuritaire et politique du pays. ACP/YHWM/BSG/Kgd

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L’ONU déplore l’interdiction aux déplacés de Taouarga de rentrer chez eux

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Kinshasa, 03 fév. 2018 (ACP).- La mission de l’ONU en Libye a regretté que des centaines de familles de déplacés de Taouarga aient été empêchés de rentrer chez eux, conformément à un accord préalable avec des représentants de la ville voisine de Misrata, a rapporté samedi l’AFP.

Des milliers de déplacés de la ville libyenne de Taouarga, contraints à un exil massif après leur soutien en 2011 à l’ex-dictateur Mouammar Kadhafi, ont été empêchés jeudi de rentrer chez eux par des groupes armés. Le gouvernement d’union nationale (GNA) a annoncé en décembre dernier le retour de ces déplacés début février, conformément à un accord conclu entre représentants de leur ville et de celle de Misrata (200 km à l’est de Tripoli), qui l’administre depuis la révolte de 2011.

La mission d’appui des Nations unies en Libye (MANUL) a dit dans un communiqué regretter vivement que des habitants de Taouarga et leurs familles soient interdits de retrouver leurs maisons par des éléments radicaux. Le texte déplore aussi les menaces et le chantage à leur encontre.

« L’ONU a suivi pendant plus de deux ans ce projet de réconciliation entre Misrata et Taouarga et se félicite de la décision du GNA « de mettre en œuvre l’accord conclu », a souligné le communiqué.

Jeudi matin, plusieurs centaines de familles avaient ainsi pris la route en direction de Taouarga, mais elles ont été bloquées à des barrages aux entrées de la ville par des groupes armés. ACP/YHWM/BSG/Kgd

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La 1ère   CIACC illumine le combat de la RDC contre le cancer, selon le ministre de la Santé

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Kinshasa, 03 février 2018  (ACP).- Le ministre de la Santé, Oly Ilunga Kalenga, a déclaré samedi, en marge de la journée mondiale du cancer célébrée le 04 février de chaque année, que la tenue de la première Conférence internationale Afrique contre le cancer (CIACC), organisée par la Fondation Bomoko,  met en lumière le combat que mène la RDC contre le cancer. « Cette lutte, nous continuerons de la mener tous ensemble », a dit le ministre, soulignant que la Fondation Bomoko, guidée par la fougue de la jeunesse, a brillamment identifié une opportunité pour rendre la RDC meilleure.

Pour le ministre Oly Ilunga, la célébration de la journée mondiale du cancer rappelle chaque année l’importance du renforcement des actions communes à mener au niveau des institutions publiques et privées pour lutter efficacement contre cette maladie qui ne cesse de prendre de l’ampleur tant en incidence qu’en terme de mortalité.

Le cancer, a souligné le ministre de la Santé, a été  longtemps ignoré en Afrique au profit des maladies  telles que le VIH et la malaria, et est devenu un risque de santé publique majeure en RDC, emportant ainsi des milliers de vies.

Un grand cheminreste encore à parcourir pour donner accès à tous les Congolais aux moyens diagnostiques et thérapeutiques modernes. Les moyens nécessaires pour vaincre ce fléau vont au-delà de l’action du Ministère de la Santé, a ajouté le ministre qui a noté que cela requiert l’implication de tous, notamment des chercheurs, des praticiens, des associations, de la société civile et du secteur privé..

« Il faut savoir que le cancer n’est pas une fatalité. Diagnostiqué et pris en charge rapidement, il est possible de guérir du cancer. Ainsi, la meilleure protection contre le cancer est la prévention, la sensibilisation et le dépistage précoce », a-t-il déclaré.

 Une personne atteinte d’un cancer en Afrique est trois fois plus susceptible de mourir qu’une personne atteinte du même cancer aux États-Unis ou en Europe du fait d’un diagnostic tardif, a prévenu le ministre Oly Ilunga, félicitant la Fondation Bomoko et tous ses volontaires pour  le travail qu’ils ont abattu depuis leurs récents débuts qui donnent de leur temps et partagent leur expertise pour informer la population sur cette maladie.

Des spécialistes autour du cancer à Kinshasa

 La première édition de la CIACC a réuni les professionnels de la santé spécialistes au cancer qui ont partagé leur réflexion à ce sujet avec les participants intéressés qui ont suivi les avancées scientifiques réalisées en matière de lutte contre le cancer, les reformes et les mesures prises ailleurs, les stratégies dans la prévention et la lutte contre cette terrible maladie, a fait savoir la présidente de la Fondation Bomoko, Melissa Amisi.

Depuis plusieurs années, diverses actions ponctuelles sont entreprises dans la lutte contre cette maladie, mais les retombées de toutes les actions demeurent peu porteuses, en termes de changement de mentalités  et de prise en charge des différents types de l’affection,  a reconnu Mme Melissa Amisi, déplorant le déficit constaté dans ce domaine à travers les réponses récurrentes aux questions posées  au public sur le cancer.

Cette première conférence s’intéresse à  la problématique de prévention comme l’un des moyens les plus efficaces dans la lutte contre le cancer. Elle vise  entre autres à créer un forum d’échanges et de concertation entre les différents acteurs de la chaîne de la lutte contre cette maladie, notamment le ministère de la Santé  et le secteur privé et  à capitaliser les expériences des pays africains engagés dans la lutte.   L’amélioration des techniques de prévention et de sensibilisation déjà mises en place etle réseautage des chercheurs et la coopération scientifique internationale figurent aussi parmi les objectifs à  atteindre. ACP/YHWM/BSG/Kgd

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Les agents et cadres de l’OCC appelés au professionnalisme pour relever les défis de l’office

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Kinshasa, 03 Fév. 2018 (ACP)- Le directeur général de l’Office congolais de contrôle (OCC), Pierre-Célestin Risasi Tabu, a appelé samedi les agents et cadres de cette entreprise à plus d’ardeur et au professionnalisme au travail afin de relever les défis de cet office, au cours de la cérémonie d’échanges des vœux organisée à son siège de Kinshasa. Il a, à cet effet, lancé un appel pathétique au personnel à s’impliquer dans le travail  en vue de  maximiser les recettes.

M. Risasi a profité de l’occasion pour faire le bilan de l’année 2017, lequel a été performant et a servi à la consolidation des efforts accomplis depuis l’avènement des nouveaux dirigeants à la tête de la direction générale de l’office. Il a précisé que les résultats ont été  positifs au cours de cette année au regard de différentes réalisations et des initiatives courageuses   accomplies par l’ensemble du personnel.

Il a également fait remarquer que   la direction générale est en place pour faire aboutir les orientations du gouvernement,  celles du conseil d’administration  et   favoriser la simplification des procédures et la facilitation des formalités du commerce extérieur entre la RDC et les pays voisins. Cet objectif s’inscrit dans les  orientations réitérées du conseil d’administration qui se focalisent sur le travail de l’office.

Le redressement de l’office, a-t-il dit,  s’explique par la modernisation de cette entreprise avec des outils indispensables et l’accomplissement de sa mission régalienne, notamment  le contrôle de la qualité et la gestion des ressources humaines.

Pour réussir ce pari, a souligné le directeur général,  il a invité les agents à plus de volonté et   à la conscience professionnelle et surtout àse  défaire de quelques mauvaises habitudes  dans la gestion quotidienne  de l’office.

Quelques réalisations

Il a, par ailleurs, indiqué  que le bon fonctionnement de l’office s’est fait accompagner du fichier  Sydonia de la Direction générale des douanes et assises (DGDA) et des frais de contrôle sur les produits pétroliers à l’Est. Il a fait remarquer que c’est depuis de nombreuses  années que la prestation de l’OCC n’était jamais payée par des opérateurs économiques, des frais d’analyses des produits importés avec la possibilité à l’agent de l’OCC d’intervenir directement sur le fichier Sydonia.

Cette intégration des frais du guichet unique OCC a contribué de manière substantielle à la maximisation des recettes et offre des  perspectives dignes  à l’amélioration des recettes ainsi que des services rendus.

Le directeur général de l’OCC a aussi rappelé qu’au cours de l’exercice qui vient de s’achever, le problème de rupture des imprimés opérationnels a été  résolu par le recours aux services de la Banque Centrale du Congo (BCC). Désormais, cette institution monétaire imprime tous les documents  financiers sécurisés, ajoutant que les laboratoires  mobiles dotés depuis 2014 et non utilisés sont aujourd’hui en instance d’immatriculation et pourront être utilisés dans le département de contrôle -environnement. En ce qui concerne la logistique, il y a eu l’acquisition   des véhicules pour la mobilité des exploitants à Kasumbalesa, Lubumbashi et de Likasi, a-t-il dit.

Des groupes électrogènes ont été acquis à Kolwezi,Aru,  Beni et bientôt à Matadi et Boma, grâce aux efforts de l’office. L’acquisition des mobiliers et kits informatiques pour améliorer les conditions de  travail s’inscrit également dans les réalisations de l’office soutenu par le cadre de la révolution de la modernité prônée par le chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange.

De son côté, le chef de département administratif, Mme Ndjoli, a indiqué que les efforts consentis par la direction générale serviront d’exemple pour des générations futures, souhaitant que l’office atteigne sa vitesse de croisière.

De son côté, le président de la délégation syndicale,  Jovien Bende Makua, a recommandé aux travailleurs  à redoubler d’effort pour éviter les coulages de recettes et relever les défis de l’office ainsi que la santé de la population. ACP/YHWM/BSG/Kgd

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Inhumation samedi à Kinshasa du directeur général du CEDI

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Kinshasa 03 fév. 2018 (ACP_ inhumation ce samedi au cimetière Nécropole entre ciel et terre du Le directeur général du centre d’éditions et de diffusion(CEDI, Mathieu Bosunga Loombe décédé samedi 27 janvier 2018 a été inhumé le samedi 03 février à la Nécropole « Entre terre et ciel ».

Auparavant, dans un culte d’actions de grâce organisé en mémoire de l’illustre disparu à la cathédrale du centenaire protestant à Kinshasa, le pasteur Ekofo, a déclaré que Mathieu Bosungaavait servi la nation et son prochain avec beaucoup d’abnégation et de ferveur.Il a indiqué que son  degré d’engagement dans la formation et le développement humain  a poussé les autorités de l’ECC  à le nommer  à la tête du conseil d’administration de l’Alliance biblique de la RDC.

Mathieu Bosunga est mort étant serviteur de Dieu, son âme reposera en paix a,  dit le pasteur Ekofo, ajoutant «  le Seigneur a donné, le Seigneur a repris ». Un membre de l’association des éditeurs du Congo a, dans son témoignage, qualifié le défunt de « baobab de l’éducation congolaise », en ce qu’il a été promoteur de plusieurs manuels scolaires pour l’enseignement secondaire, général et technique

Mathieu Bosunga est né le 12 mars 1946 à Isangi dans la province de la Tshopo. Marié à Julie Lokangu et père de 13 enfants dont11 en vie, il entreprit ses études primaires à Isangi et à Kisangani, ville où il a poursuivi ses études secondaires en section latine mathématiques, études sanctionnées par un diplôme de jury central en 1965. Porteur d’une licence en pédagogie de l’université ‘ de Lovanium en 1971, il était doctorant de l’Université de Kisangani en 1987 et détenteur de plusieurs  autres diplômes et brevets notamment en journalisme

De son vivant, il a occupé plusieurs fonctions notamment  celles de coordonnateur des écoles conventionnées protestantes, ministre de l’Intérieur et de la sécurité du territoire du gouvernement issu de la Conférence nationale souveraine (CNS), député national au parlement de la transition. ACP/YHWM/BSG/Kgd

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Matata Ponyo proclamé docteur en sciences économiques à l’Université protestante au Congo

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Kinshasa, 03 fév. 2018 (ACP).- Le Premier ministre honoraire, Augustin Matata Ponya Mapon, a été proclamé samedi docteur en sciences économiques à l’Université protestante au Congo(UPC) avec la mention « grande distinction »,  à l’issue de la soutenance publique d’une thèse de doctorat intitulée « Qualité de l’ajustement budgétaire et croissance économique : cas de la République démocratique du Congo(1974-2015) ».

 Dans cette dissertation doctorale  de plus de 531 pages,  l’auteur s’est efforcé « d’expliquer ce qui peut apparaitre à première vue comme un paradoxe, comment la réduction du déficit budgétaire peut s’accompagner d’une relance de la croissance économique en volume forte ».

Le récipiendaire a fourni quelques explications des effets expansionnistes du moindre déficit budgétaire reposant généralement soit sur les réactions des agents sur les marchés en réponse à l’ajustement, soit sur le rythme, la durée ou la nature de l’ajustement.

Ces explications éprouvées dans cette thèse sur le plan empirique, a-t-il dit, « semblent néanmoins largement insuffisantes pour le cas de la RDC comme pour d’autres pays africains, tant elles ignorent ce qui fonde principalement le succès d’un tel ajustement ».

Selon Matata Ponyo, en général les réformes échouent en Afrique en raison d’une volonté aléatoire d’engager et de poursuivre la réforme, les dirigeants exerçant leur pouvoir en se reposant sur des réseaux clientélistes  qu’ils animent via des activités de capture ou la création de rente, fondées sur les ressources fiscales.

C’est donc le contexte politique de la réforme qu’il a qualifié dans cette dissertation doctorale « la faisabilité des programmes  de réformes qui constitue le premier déterminant du succès ou l’échec d’un ajustement budgétaire quantitatif ». L’impétrant a affirmé que l’idée centrale de sa thèse est que « le succès d’un ajustement budgétaire repose sur l’existence au sein de la classe dirigeante, d’un leadership éclairé ».

 Ce succès, a-t-il précisé,  dépend  à la fois de la capacité de réduire le poids des dépenses publiques improductives  pour privilégier la part des dépenses productives dans le budget de l’Etat, mais surtout, de la résolution ferme et continue à réformer aussi bien les canaux de la dépense publique, les sources de collecte fiscale que les canaux de transmission de la dépense publique à l’activité.

La qualité des institutions favorables à la croissance, a-t-il martelé, est aussi importante que l’ajustement budgétaire en vue de la croissance. Matata Ponyoa montré dans cette recherche que la RDC est un rare cas d’école en Afrique, de l’application des effets expansionnistes de l’ajustement budgétaire dont  la période 2010 à 2015, illustre la possibilité qu’en Afrique, la décision publique puisse s’appuyer sur un leadership éclairé avec comme terrain d’expérimentation la gestion budgétaire.

Le schéma d’architecture économique apprécié par les membres du jury

Par ailleurs, le jury examinateur de cette dissertation a apprécié à sa juste valeur la forme et le contenu de cette thèse qui présente un schéma de leadership et d’architecture économique.

Ce schéma part du président de la République, du premier ministre, du parlement et de l’administration centrale pour appliquer le leadership et l’architecture institutionnelle  du cadre de gouvernance  et la croissance économique en RDC sur tous les plans.

Pour sa part, le recteur de l’UPC,Daniel Boliya Ngoy, a salué la pertinence de cette étude abordée sur l’ajustement budgétaire et la croissance économique. Le recteur de l’Université de CEPROMAD, Nsaman O-Lutu, a également félicité  le récipiendaire qui a pris  aussi en compte la théorie de  management public dans son analyse des micro-finances.

Présidé par le professeur Mpereboy-Mpere le jury de cette thése comprenait outre le  promoteur et  le co promoteur de cette thèse, les professeurs  François Kabuya  et ShikoEbwe, le professeur  James Robinson de l’Université de Chicago aux Etats-Unis, le doyen de la faculté d’économie de l’UPC,  le professeur Fréderic Kalala ainsi que d’autres professeurs invités  de l’Université catholique de Louvain, François Vakine et de l’UNIKIN, Emile Ngoy. ACP/YHWM/BSG/Kgd

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Publication de trois ordonnances signées par le  Président de la République

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Kinshasa, 03 fév. 2018 (ACP).- Le Président de la République, Joseph Kabila Kabange, a rendu publiques samedi, trois ordonnances signées le 1er février, a rapporté la RTNC qui a précisé que la première porte approbation du contrat de partage de la production conclu le 21 décembre 2007 entre le gouvernement et l’association Société nationale des hydrocarbures (SONAHYDROC) – Compagnie minière du Congo (COMICO) sur les blocs 1 à Mbandaka, 2 à Lokoro et 3 à Busira de la cuvette centrale.

La deuxième ordonnance porte  nomination d’un directeur général adjoint d’un service public dénommé « Africain d’explosif » (AFRIDEX) en la personne de Marcel Mbuyu Kyungu. La troisième ordonnance est relative à la nomination des maires et des maires adjoints des villes de la RDC. ACP/YHM/BSG/Kgd

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Le président de la République signe trois ordonnances

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Kinshasa, 04 Fév. 2018 (ACP).- La présidence de la République a rendu publique, samedi, trois ordonnances signées le 1er février par le Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange.

La première ordonnance porte approbation du contrat de partage de production conclu le 21 décembre 2007 entre, d’un côté, la République Démocratique du Congo (RDC) et de l’autre côté, l’Association Compagnies minières Congolaises (COMICO) et la Société nationale des Hydrocarbures du Congo (SONAHYDROC), sur les blocs Mbandaka 1, Lokoro 2 et Busira 3 de la cuvette centrale.

La deuxième ordonnance porte nomination d’un directeur général adjoint d’un service public dénommé « Africain d’explosif », AFRIDEX en sigle, en la personne de Marcel Mbuyu Kiyungu.

La troisième ordonnance porte également la nomination des maires et maires adjoints des villes de la République démocratique du Congo.

Ci-après la liste des nommés et leurs villes.

1) Buta, province du Bas-Uélé : Mme Charlie Kwateba Ileku et M. Dominique Silengue Logoni Ekidi,

2) Mbandaka, à l’Equateur : MM. Bompaka Boniemwa et Alain Bompoko Bozembo,

3) Lubumbashi, dans le Haut-Katanga : M. Gulain Robert Lubaba Buluma et Mme Floriane Mukalombo Mwema,

4) Likasi, dans le Haut-Katanga : M. Petwe Kapande et Mme Brigitte Pondo Moga,

5) Kamina, dans le Haut Lomami : MM July Mukandila Kayembe et de Mutonkole  Mulenga,

6) Isiro, dans le Haut-Uélé : MM Jean Joseph Matete Osali et Sengi Apabisi,

7) Bunia, dans l’Ituri : M. Fimbo Libele et Mme Justine Dembo Aboli,

8) Tshikapa, dans le Kasaï : MM Laurent Kambulumputu Kambalemba et Edouard Dikenga  Dikomba,

9) Kananga, dans le Kasaï-central : M. Mwamba Kantukanjila et Mme Marguerite Lukampeta Pandi,

10) Mbuji-Mayi, dans le Kasaï-Oriental : MM Ntumba Tshapota et Gaby Kasonga,

11) Boma, dans le Kongo central : Mmes Marie-José Ngongo Swami et Annie Matundu Mbambi,

12) Matadi, dans le Kongo central : M. Paty Nzuzi Wa Makengedi et Mmes Adora Vuvubi Luzolo,

13) Kenge, dans le Kwango : MM Nzuzi Tubazodiko et Nyingi Shamaloba,

14) Bandundu, dans le Kwilu : MM Ephraïm Kinda Abuya et Rabi Iluani Bukaleni,

15) Kikwit, dans le Kwilu : MM. Léonard Mutangu Katonga et Jean Claude Mungala Malongi,

16) Kabinda, dans la Lomami : M. Joseph Kazadi Ngoy et Mme Njiba Mpungwe,

17) Mwene-Ditu, dans la Lomami : Mme. Fideline Kabinda Mutonji et M. Joseph Komane Tshikonyi,

18) Kolwezi, dans le Lualaba : Mme Véronique Kamina Upite et M. Jacques Masengo Kindele,

19) Inongo, dans le Maï-Ndombe : de MM. Cosmos MBO Wemba Ngeli et Norbert Botikali Mbongo Bokelo,

20) Kindu, dans le Maniema : MM. Lovi Ongala Loseke et Octave Unganda Polemoya,

21) Lisala, dans la Mongala : MM Brice Bika Malombo et Romain Atongoli Mongombe,

22) Beni, dans le Nord-Kivu : MM. Bwanakawa Masumbuko Nyunyi et Modeste Mohindo Bwanakanamaha,

23) Butembo, dans le Nord-Kivu : MM. Silvain Mbusa Kanyamanda et Patrick Kambale Tiko,

24) Goma, dans le Nord-Kivu : MM. Muissa Tsiese et Juvénal Ndabereye Nsezike,

25) Gbadolite, dans le Nord Ubangi : MM. Joseph Mulegbe Damba et Alphonse Ndagali Kwadi,

26) Lusambo, dans le Sankuru : MM. Bernard Nkoso et Grégoire Kapinga Betu,

27) Bukavu, dans le Sud-Kivu : MM. Bilubi Ulengabu et Darius Sumuni Mukunda,

28) Gemena, dans le Sud-Ubangi : MM Zuku Mabola et Remy Alenge Zokande,

29) Zongo, dans le Sud-Ubangi : MM. Michel Siazo Buyi et Binseke Nkey Bipalua,

30) Kalemie, dans le Tanganyika : M. Kakudji Kalama et Mme  Safari Kanoni,

31) Kisangani, dans la Tshopo : Alaso Boselekolo et Mme Wandandi Biekusu,

32) Boende, dans la Tshuapa : MM. Moustafa Bosenge Bohindo et Boleko Ndumba Bonali. ACP/Mat/May

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  Incertitude  autour des prochaines élections législatives en Italie

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Kinshasa, 04 Fév. 2018(ACP).- Dans un mois, les Italiens iront aux urnes pour élire députés et sénateurs dans une grande incertitude, en dépit de l’avance dans les sondages de la coalition de droite menée par Silvio Berlusconi, mais déjà en proie aux divisions, selon une dépêche publiée dimanche par l’AFP.

Après le Brexit en 2016 et la montée de l’extrême droite en France, en Allemagne ou encore en Autriche, Bruxelles et les capitales européennes s’inquiètent désormais de la poussée des populistes et eurosceptiques dans la troisième économie de la zone euro.

Les arguments du Mouvement 5 étoiles (M5S, populiste) et la Ligue du Nord (LN, extrême droite) font souvent mouche dans un pays vieillissant, qui peine à redémarrer après plusieurs années de récession, où la précarité fait fuir les jeunes diplômés à l’étranger, mais qui a vu parallèlement débarquer près de 630.000 migrants depuis 2014.

L’immigration reste d’ailleurs un thème sensible, comme cela s’est encore vérifié samedi avec une fusillade à caractère raciste, après le meurtre d’une jeune femme attribué à un Nigérian dans cette région du centre de l’Italie.

Le leader de la Ligue, Matteo Salvini, s’est empressé de dénoncer l' »invasion migratoire » en dépit des appels au calme et à la sérénité lancés par le chef du gouvernement Paolo Gentiloni.

Selon les sondages, la coalition entre Forza Italia (FI, droite), LN et le petit parti post-fasciste Fratelli d’Italia (FdI) est en tête avec plus de 35% des intentions de vote, à quatre semaines du scrutin du 4 mars. Viennent ensuite le M5S (28%), le Parti démocrate (PD, centre gauche, au pouvoir, 25%), et … les indécis, qui représentent encore 35 à 40% des électeurs.

La nouvelle loi électorale, adoptée l’an dernier, instaure un cocktail complexe de scrutins proportionnel et majoritaire, obligeant les médias italiens à rivaliser de projections pour tenter de déterminer le seuil nécessaire afin d’obtenir la majorité des sièges, qui varie selon les experts entre 40 et 45% de voix.

« Le seul qui puisse y arriver, depuis son lit d’hôpital, c’est Silvio Berlusconi », explique Roberto D’Alimonte, politologue de l’université Luiss à Rome, en référence à un coup de fatigue du vieux milliardaire cette semaine.

A 81 ans, l’ancien chef du gouvernement parti sous les sifflets en 2011, raillé à l’étranger pour ses bourdes et ses soirées bunga-bunga, opéré à cœur ouvert l’année dernière, encore inéligible après une condamnation pour fraude fiscale, est en effet de retour. ACP/Mat/May

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Le président Macron effectue mardi sa première visite en Corse

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Kinshasa, 04 Fév. 2018(ACP).- Le président Emmanuel Macron effectue mardi et mercredi un  déplacement en Corse, où il est très attendu, a rapporté dimanche l’AFP.

M. Macron va d’abord commémorer mardi matin le 20e anniversaire de l’assassinat du préfet de Corse Claude Erignac, tué le 6 février 1998, alors qu’il se rendait au théâtre avec son épouse, à Ajaccio. Il présidera une cérémonie sur les lieux et la place attenante sera rebaptisée « place Claude Erignac« , avec la possible présence de la veuve du préfet, Dominique Erignac.

Le point fort sera son discours mercredi après-midi près de Bastia, après un entretien mardi soir à Ajaccio avec les deux hommes forts de l’île, les nationalistes Gilles Simeoni, président du conseil exécutif, et Jean-Guy Talamoni, président de l’Assemblée de Corse.

Pour vanter les atouts touristiques et économiques corses, le chef de l’Etat se rendra mardi à Bonifacio, dont le maire Jean-Charles Orsucci est le chef de file LREM dans l’île, puis mercredi matin au centre de recherche agricole de San Giuliano, spécialisé dans les citrons et mandarines.

Le chef de l’Etat sera accompagné du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, de la ministre déléguée Jacqueline Gourault, la « madame Corse« , et de la secrétaire d’Etat Marlène Schiappa, dont une partie de la famille est insulaire.

C’est l’objet de beaucoup d’interrogations, d’autant que le président n’a quasiment pas parlé publiquement de la Corse depuis son élection.

L’Elysée renvoie au discours prononcé, comme candidat, le 7 avril 2017 à Furiani. « La place de la Corse est dans la République parce que la République est suffisamment forte pour accueillir des particularités en son sein », avait alors déclaré Emmanuel Macron. « S’il apparaît que le cadre actuel ne permet pas à la Corse de développer ses potentialités, alors nous pourrons envisager d’aller plus loin et de réviser la Constitution », avait-il ajouté dans ce discours au ton girondin et décentralisateur alors salué par les nationalistes modérés.

Pour Jean-Guy Talamoni, il faut qu’Emmanuel Macron vienne avec « un esprit ouvert » et « adresse un signal très fort d’ouverture et de dialogue », loin de « l’indifférence » dont il a fait preuve, selon lui, jusqu’à présent.

« Les gens ne sont pas dans une logique de tension« , a affirmé Gilles Simeoni après la manifestation qui a rassemblé samedi à Ajaccio près de 6.000 personnes selon la préfecture, plus de 22.000 selon les organisateurs, pour « convaincre » Emmanuel Macron d' »ouvrir un dialogue ». « Maintenant au président de la République de dire, de parler, et, je l’espère, de montrer qu’il a entendu ce que nous avons dit aujourd’hui », a-t-il ajouté.

Les deux dirigeants étaient sortis déçus d’entretiens à Paris les 22 et 23 janvier avec le Premier ministre Edouard Philippe et le président LR du Sénat Gérard Larcher. ACP/Mat/May

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UE : course à la succession de Jean Claude Juncker à la tête de la Commission européenne

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Kinshasa, 04 Fév. 2018(ACP).- La succession de Jean-Claude Juncker à la tête de la Commission européenne est déjà lancée en coulisses, mais les 27 pays membres de l’UE sont encore loin d’être d’accord sur les règles du jeu,  ont rapporté dimanche des agences internationales.

Parmi les possibles candidats pour remplacer le Luxembourgeois à l’automne 2019, c’est le nom du Français Michel Barnier, actuellement négociateur en chef du Brexit au nom de l’Union, qui revient avec le plus d’insistance. Sa candidature avait déjà été envisagée en 2014, mais la famille politique du PPE (droite, majoritaire au Parlement européen), lui avait alors préféré l’actuel président de la Commission.

M. Juncker avait été désigné comme « Spitzenkandidat » du PPE, selon le nom allemand qui s’est imposé pour cette procédure, voulant que les partis européens désignent des « candidats têtes de liste » aux élections européennes. L’idée du procédé, inauguré en 2014, est que la présidence de la Commission doit revenir au candidat du parti arrivé en tête.

Le Parlement européen, à qui revient l’élection du président de la Commission par un vote, tient à tout prix à ce que la méthode soit à nouveau utilisée. Il y voit le gage d’une transparence accrue et d’un renforcement de sa légitimité politique comme de celle de la Commission.

Mais les traités européens ont confié aux Etats membres le pouvoir de nommer, à la majorité qualifiée, le candidat à la présidence de la Commission, même si les textes leur demandent, de manière vague, de le faire « en tenant compte des élections au Parlement« .

Plusieurs dirigeants de pays européens, le Français Emmanuel Macron en tête, sont opposés à la méthode des « Spitzenkandidaten« , comme ils devraient le rappeler lors d’un sommet à Bruxelles le 23 février.

« En 2014, il y a eu de la frustration dans plusieurs capitales sur le fait que la procédure qui a mené à la nomination de Juncker n’avait pas été assez transparente« , commente une source européenne.

Pour certains, ce système a mené à une politisation de la Commission, jugée dommageable. D’autres craignent le cas de figure d’une poussée des partis eurosceptiques lors des élections européennes, qui pourrait mener au choix d’un candidat issu de leurs rangs.

Face à ces réticences, les eurodéputés ont prévu de hausser le ton en session plénière la semaine prochaine à Strasbourg (est de la France).

« Le Parlement européen rejettera tout candidat à la présidence de la Commission qui n’aura pas été désigné comme +Spitzenkandidat+ en amont des élections du Parlement européen », a mis en garde l’Allemand Manfred Weber, chef de file du PPE au Parlement européen.

Et « si les gouvernements des Etats membres tentent de revenir sur ce principe », a-t-il ajouté. L’influent chef de cabinet allemand de Jean-Claude Juncker, Martin Selmayr, a lui aussi appelé à reconduire en 2019 la procédure de 2014.

« Un Spitzenkandidat victorieux qui a fait campagne dans toute l’Europe pour une majorité de sièges aura une plus forte légitimité en tant que président de la Commission européenne qu’une personne choisie derrière des portes closes », a récemment fait valoir M. Selmayr sur le réseau social Twitter.

En attendant que la formule soit choisie, il n’y pas encore de candidats officiellement déclarés. ACP/Mat/May

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Près d’une vingtaine de migrants morts en mer entre le Maroc et l’Espagne

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Kinshasa, 04 Fév. 2018 (ACP).- Les cadavres de « près d’une vingtaine » de migrants d’origine subsaharienne ont été repêchés en mer samedi par des patrouilles marocaines après avoir été repérés depuis un bateau espagnol, a annoncé dimanche une porte-parole de la préfecture de l’enclave espagnole de Melilla, ont annoncé dimanche des médias internationaux.

Les migrants ont été vus par l’équipage du ferry Sorolla, qui a alerté les secours en mer des deux pays, a déclaré cette porte-parole en précisant que l’équipage avait « estimé à une vingtaine » les cadavres ensuite récupérés par les secours marocains dans leurs eaux territoriales. Le Maroc n’a pas pour l’instant diffusé son bilan des victimes.

Un peu plus tard dans la soirée, une patrouille de la garde civile a découvert le corps d’un autre migrant, qui a été ramené à Melilla, enclave espagnole dans le nord du Maroc, face aux côtes espagnoles et non loin de la frontière algérienne.

Selon la préfecture de Melilla, un hélicoptère de la Garde civile participait encore dimanche matin aux recherches, en appui aux patrouilles marocaines.

Cette découverte intervient alors que la route « espagnole », est de plus en plus empruntée par les migrants subsahariens qui tentent d’arriver en Europe.

Selon le dernier bilan de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), l’Espagne est le deuxième point d’entrée avec 1.279 arrivées par mer depuis le début de l’année, après l’Italie (4.256).

Au total, depuis le début de l’année, 243 personnes ont disparu ou péri en mer Méditerranée, selon ce bilan qui ne comprend pas le groupe découvert samedi.

En 2017, l’Espagne a été la troisième porte d’entrée en Europe des migrants, via la Méditerranée, après l’Italie et la Grèce. L’année dernière, les arrivées par mer ont triplé par rapport à 2016, atteignant un total de 22.900 migrants, selon Frontex, l’organisme européen de surveillance des frontières. Plus de 200 sont morts ou ont disparu pendant la traversée.

Les cadavres de « près d’une vingtaine » de migrants d’origine subsaharienne ont été repêchés en mer samedi par des patrouilles marocaines après avoir été repérés depuis un bateau espagnol, a annoncé dimanche une porte-parole de la préfecture de l’enclave espagnole de Melilla.

Les migrants ont été vus par l’équipage du ferry Sorolla, qui a alerté les secours en mer des deux pays, a déclaré cette porte-parole en précisant que l’équipage avait « estimé à une vingtaine » les cadavres ensuite récupérés par les secours marocains dans leurs eaux territoriales. Le Maroc n’a pas pour l’instant diffusé son bilan des victimes.

Un peu plus tard dans la soirée, une patrouille de la garde civile a découvert le corps d’un autre migrant, qui a été ramené à Melilla, enclave espagnole dans le nord du Maroc, face aux côtes espagnoles et non loin de la frontière algérienne.

Selon la préfecture de Melilla, un hélicoptère de la Garde civile participait encore dimanche matin aux recherches, en appui aux patrouilles marocaines.

Cette découverte intervient alors que la route « espagnole« , est de plus en plus empruntée par les migrants subsahariens qui tentent d’arriver en Europe.

Selon le dernier bilan de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), l’Espagne est le deuxième point d’entrée avec 1.279 arrivées par mer depuis le début de l’année, après l’Italie (4.256). ACP/Mat/May

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